Merci à Denis Billamboz pour son article sur Pas de côté, que l’on peut lire ici. Je suis très touchée.
Catégorie : Factuel
Mes petites amoureuses à La Roche-sur-Yon
C’est vraiment un plaisir de faire cette lecture, surtout devant un public si réceptif… Merci à tou.te.s ! Merci à Jany pour cette photo.
Et merci à Clémentine pour celle-ci, où ma tête orne le Grand R, et que j’ai pris la liberté de réduire à un carré en noir et blanc.
Fragments de lecture
Merci à Virginie Neufville pour son article sur La vie effaçant toutes choses, visible ici.
Du papier et des autrices
Ce soir, quelques amis et moi avons fêté la version papier de mon portrait by Le Monde au QG LGBTQ. Juste avant cette modeste célébration, j’ai discuté avec Éliane Viennot du mot autrice et je réfléchis encore au meilleur positionnement que je pourrais adopter par rapport à cette question linguistique encore complexe à mes yeux ; plus tard, Barb, qui vient du Québec, m’a dit pencher comme moi pour auteure (c’est d’ailleurs le parti-pris québecois officiel). Le fait que le mot autrice ait été l’un des mots féminins les plus maltraités de la langue française, ces derniers siècles, remue en moi des notions de justice dont je ne sais pas encore ce que je ferai. Je vous tiendrai au courant. J’irai peut-être vivre à Montréal pour ne pas devoir trancher. Pour l’instant, écrivaine me semble tout compte fait relativement acceptable à l’oreille (quoiqu’elle n’ait pas de frontières dans la sphère musicale, il semblerait que mon oreille soit un peu lente dans l’assimilation des évolutions – ou reconquêtes – du langage par la cause féministe, ce dont je ne suis pas très fière, mais d’après Éliane Viennot, ça viendra).
(Merci à mon Antique pour la photo.)
Le Monde des Livres
Merci au Monde des Livres de m’avoir consacré son portrait de la semaine et merci particulièrement à Florence Bouchy, qui l’a signé. Merci à Antique de m’avoir envoyé les captures d’écran de la version numérique, faites sur son téléphone, de manière à ce que je puisse les assembler comme suit :
Plus de précisions sur les références qui ont nourri La vie effaçant toutes choses, ici (David Lynch, cité dans l’article du Monde, n’en est effectivement pas absent mais il a surtout marqué la première mouture du texte, avant que ne se pose la question de savoir s’il s’agissait d’un roman – c’était alors plus évident – ou d’un recueil de nouvelles ; plus essentiels ont été, dans ma réflexion sur la forme, Trois femmes de Robert Altman, Three Voices de Morton Feldman et Emily de Stewart O’Nan). Je tiens enfin à modérer : je n’ai pas dit que l’écriture était ma vie, ce n’est pas le cas (ou si je l’ai dit, c’était une coquille orale – après tout, ça existe) ; j’ai dit que je ne sais pas vivre, en effet, et que l’écriture est ma manière d’être au monde. Mais les gens que j’aime, la musique et la course à pied ont autant de sens pour moi que l’écriture et je ne serai jamais de ces auteurs qui prétendent que seuls les livres comptent – plutôt mourir (pour rester radicale).
Lire
Dans le numéro d’avril du magazine Lire, Josyane Savigneau évoque La vie effaçant toutes choses. Ce n’est pas la première fois que je suis amenée à la remercier – je le fais d’autant plus.
Remue
Merci à Jacques Josse pour sa note sur Pas de côté, parue aujourd’hui sur le site Remue.net. Un aperçu :
Pour lire l’article complet, cliquez ici.
Nevers Tandem
Je cherchais ce matin des photos de Mes petites amoureuses sur la page de Nevers Tandem ; je n’en ai pas trouvé mais je suis tombée sur cette image qui résume assez bien mes soirées nivernaises. Je suis ici en compagnie du fabuleux Alexis Réjasse, mon nouvel ami, et de la formidable Marie Nimier, que j’espère bien revoir aussi. Après avoir partagé tant de discussions et de rires, notre complicité a été scellée par la danse, hier soir au bar de la MCNA. Quand des écrivains dansent avec une certaine frénésie, je suis heureuse : comme je ne cesse de le clamer, nous sommes aussi des corps.
Pas de côté
Dans quelques jours paraîtra mon nouveau recueil de poésie. Je serai sur le stand des Carnets du Dessert de Lune à la Foire du livre de Bruxelles le samedi 24 février de 15 à 16h pour fêter ses premiers pas – de côté.
Mes petites amoureuses aux Escales Hivernales
Hier soir, Clémentine Collette et moi avons joué, en clôture du festival Escales Hivernales, notre lecture musicale, Mes petites amoureuses, dans le bistrot toujours très animé de la gare Saint-Sauveur. Personne ne nous a jeté de canettes. Merci infiniment à l’équipe d’Escales des Lettres pour son accueil et son enthousiasme. Merci aux nombreux proches venus nous soutenir, et au public pour son écoute. Merci enfin à Myn, Pauline et Claire pour les photos.