Si j’ai reçu en avant-première le nouveau formidable nouveau recueil de Maud Joiret, c’est parce que j’ai eu l’honneur d’en écrire la préface. Pourquoi cette chance m’est-elle échue ? C’est une longue histoire, qui commence au mois de février au Comptoir du Livre, à Liège, où je suis en résidence avec ma chère Catherine Barsics et découvre la poésie de Maud. J’utilise deux pages de Jerk dans l’un des « chapitres » (voir ici la pile des « livres références »). Quelques mois plus tard, alors que je me rends au festival Leitura Furiosa, je vois dans le TER une inconnue lire Jerk, et j’envoie une photo volée à Maud. Quelques jours plus tard, j’ai le manuscrit de Marées vaches sous les yeux. Merci à Maud pour sa confiance, à Clément Ramos du Castor Astral et à l’inconnue du TER.
Ci-dessous, la jonction de ma préface et du préambule de Maud (déso pour mes ongles pleins de terre, je jardine à mains nues, ces jours-ci).