Ce matin, sous la pluie, j’ai vu trois chevreuils dans les champs ci-dessous
puis un autre, solitaire, à mon retour dans le parc de la villa. Mes photos sont toutes floues. Après avoir rencontré les trois premiers, j’ai trouvé un observatoire modeste. La vue y est quasiment la même qu’à son pied. Mais c’est le geste qui compte – regarder de juste un peu plus haut, sans drone ni autres technologies mais par la simple, l’humble magie de l’escalier ou…
du télésiège <3,
qui arrive à proximité de cet authentique moulin.
Il y a ici une infinité de sentiers dans ce genre (il faut imaginer que Chab a oublié ses chaussures de marche, il n’a que des chaussures de ville à semelles plates : comment suis-je censée préparer nos itinéraires de promenade ?)
Un de ces chemins est bordé d’arbres creux, énormes, de véritables manoirs pour petits rongeurs et oiseaux nocturnes
ou pour faisanes vraiment pas farouches.