Dans deux semaines, jour pour jour, je serai à la Maison de la Poésie de Paris pour un entretien avec Sophie Joubert (journaliste à l’Humanité à qui je dois déjà beaucoup) sur La geste permanente de Gentil-Cœur ; il sera sans doute entrecoupé de lectures mais le format reste à définir. Je me réjouis évidemment de cette invitation, même si je regrette de rater à deux jours près (mais on me dit que c’est plus compliqué que ça) la date officielle, disons annoncée, de réouverture des lieux culturels (et d’un jour la venue à la capitale de ma complice l’autrice mystère). La captation sera transmise en direct sur le Facebook live de la Maison de la Poésie (le 17 mai à 19h, donc) et ensuite disponible sur sa chaîne Youtube. Il me reste peu de temps pour répéter la lecture d’extraits, on n’a pas idée d’écrire des machins si difficiles à lire – l’exercice (qui m’a pas mal occupée hier) m’évoque la scène héroïque dans Go West, où les Marx Brothers réduisent en petit bois un train lancé à pleine vitesse pour alimenter sa propre chaudière – un (trop) court extrait :